Thérapie cellulaire pour guérir le diabète: futur proche?

Le diabète oblige encore aujourd’hui des millions de personnes à dépendre d’injections quotidiennes d’insuline. Mais de récentes avancées scientifiques changent la donne : grâce à la thérapie cellulaire, des chercheurs ont réussi à reprogrammer ou greffer des cellules capables de produire de l’insuline naturellement. Certains patients ont même pu arrêter leurs injections pendant plusieurs années. Un espoir inédit qui rapproche la médecine d’un véritable traitement durable du diabète.

Ces avancées ne signifient pas encore qu’un remède universel est à portée de main — de nombreux défis techniques, immunitaires et de sécurité restent à surmonter — mais elles marquent une étape importante vers une médecine du diabète où le corps pourrait produire sa propre insuline à nouveau, au lieu de la recevoir comme médicament.Diabète et droit du travail : entre faits, stigmatisation et solutions juridiques

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Innovation dans le domaine du diabète et du traitement de l‘obésité

Depuis la commercialisation en janvier 2010 des premiers agonistes du récepteur du GLP-1 (glucagon-like peptide), tels que le liraglutide (Victoza®) pour le traitement du diabète de type 2, le domaine a connu une évolution rapide. Initialement développées pour améliorer le contrôle glycémique, des études ont montré que ces substances améliorent également la pression artérielle, réduisent les taux de lipides sanguins tels que les triglycérides et le cholestérol et diminuent de manière avérée le risque d‘événements cardiovasculaires tels que les infarctus ou l‘insuffisance cardiaque.

Sur la base de ces résultats, il a été décidé de prescrire ces médicaments également aux personnes obèses sans diabète. Cela a ouvert un nouveau domaine de recherche et d‘application présentant un potentiel médical et social considérable.

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Alimentation et performance cognitive

Et si vos capacités de mémoire, de concentration ou de raisonnement dépendaient directement de votre alimentation ? Les recherches récentes confirment que ce que nous mangeons n’influence pas seulement la santé physique, mais aussi nos performances cognitives. Le cerveau, bien qu’il ne représente que 2 % du poids du corps, consomme près de 20 % de l’énergie totale et se montre particulièrement sensible à la qualité des nutriments qu’il reçoit. Depuis plusieurs années, les chercheurs étudient comment l’alimentation peut prévenir le vieillissement cérébral et soutenir les fonctions cognitives. Certains modèles, comme le régime méditerranéen, bénéficient de preuves solides, tandis que d’autres, comme le régime cétogène, suscitent un intérêt croissant mais encore débattu.

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